Trois semaines de vacances, un luxe presque devenu rare. Alors où aller. Entre budget, envie de chacun, règlements COVID et disponibilité des billets d’avion, notre choix s’arrête sur le Cambodge.

Dernier pays sur notre liste de l’Asie du Sud Est, c’est l’occasion de se consacrer à ce pays. Barbara fouille le Lonely Planet depuis deux mois et moi j’écume les sites de billets d’avion pour trouver la perle rare. Mais c’est fait, moyennant une longue escale à Hong Kong à l’aller et trois vols dont un break à Dubai au retour, on trouve les billets et GO… avec l’espoir que les annulations ne seront pas au rendez-vous.

Un petit vaccin encore manquant et on est réglo. Départ en train sur Zurich et vols Swiss sur HK puis Cathai pour Phnom Penh. L’ambiance à Hong Kong est vraiment bizarre. L’aéroport est au ralenti, voir en agonie. En 2019, 200’000 passagers par jours fréquentaient cet aéroport, le jours de notre passage, seul 40 vols étaient au départ. Nous n’avons pas vu d’autres compagnies européennes en dehors de notre avion qui au lieu de repartir tout de suite est resté toute la journée au terminal.

Conséquence, les coursives sont vides, les magasins, vidés et fermés, seuls un restaurant avec 3 sandwichs qui se couvrent après ouvre à midi, et deux petits magasins perdu dans une ailes offrent quelques services. Par contre toute la place est disponible pour s’installer pour de longues heures.

Dès notre arrivée à Phnom Penh on se remet dans l’ambiance avec un tuk tuk pour l’hôtel. Excellent choix pour aller vite dans les bouchons et se mettre à l’ambiance locale. Arrivée à l’hôtel Pavillon, une ancienne résidence royale qui offre un havre de paix dans le quartier des ambassades et du monument de l’indépendance. Petit restaurant à la nuit tombée et premier Pho (soupe vietnamienne) avant d’inaugurer la piscine et le bar de l’hôtel

Le premier jour nous laisse découvrir la ville à pied, temples et musées national. Le Palais Royal est fermé depuis deux ans, mais pourrait rouvrir le mois prochain, on y croit pour la fin de notre séjour.

Quelques haltes bienfaisantes dans les clims surpoussées des cafés et découverte des cafés de rues pour la soupe de nouille traditionnelle. Arrêt bienfaisant dans un centre de massage fait par des aveugles.

Deuxième jour un peu similaire avec plus de tuk tuk pour passer d’un endroit à l’autre et une longue pause dans le café d’un parc. Ce soir on prend le bus de nuit / couchettes pour partir à l’Est où un trek nous attend. C’est un sanctuaire où l’on devrait passer du temps avec les éléphants… s’ils sont d’accord, là-bas, respect des éléphants et vie à leur rythme, sans leur monter dessus, laissés en liberté pour leur retraite. À suivre!

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